« Répondre aux besoins tout en maintenant l’équilibre [entre l’amont et l’aval d'un fleuve]». Les propos de Hans Guttman, directeur de la Commission du Mékong (Mekong River Commission), résume bien les défis de la gestion intégrée de l’eau par bassin versant, en particulier transfrontaliers.
Lors de la rencontre du 14 mars, chapeautée par l’Office International de l’Eau (OiEau), c’est le plan de gestion commun par bassin versant qui a fait l’unanimité, aussi bien pour les bassins régionaux que transfrontaliers.
Au-delà de la décision ou de la collaboration politique, c’est l’implication des acteurs locaux et de la population dans le processus qui permet la réalisation et la mise en oeuvre de ce plan d’action.
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